Le saviez-vous ?
En général, la législation permet de conserver le corps jusqu’à six jours après le décès.
Après une crémation, les cendres peuvent être conservées dans une urne funéraire, dispersées dans un lieu significatif ou naturel, inhumées dans un columbarium ou dans une sépulture familiale. Les pompes funèbres peuvent vous guider dans le choix de la meilleure option en fonction des souhaits du défunt et de sa famille.
- L’achat d’un cercueil avec 4 poignées
- La plaque d’identité du défunt
- Le transport du corps entre le lieu du décès et le lieu de repos puis entre le lieu de repos et celui des funérailles
- L’inhumation ou la crémation
Oui, en France le cercueil est obligatoire, qu’il s’agisse d’une inhumation ou d’une crémation. Plusieurs essences de bois sont possibles dans le cas d’une crémation : en pin ou bois massif.
Plusieurs solutions de financement sont possibles : aide de la Sécurité Sociale, assurances décès, capital décès versé par les sociétés mutualistes, contrat obsèques souscrit par le défunt, fonds d’aide provenant de la commune où a eu lieu le décès (sous conditions). Vous pouvez aussi régler en 2, 3 ou 4 fois sans frais.
Depuis la loi “Sueur” datant de 2008, il est interdit de conserver une urne à domicile.